Bonjour à toi.
Au moment où j'écris, l'automne s'entame officiellement. Il faisait très froid dans l'appartement ce matin. J'ai revêtu avec plaisir mes bas de laines et mon coton ouaté. Mais là n'est pas le sujet de ce présent article.
En fait, j'écris pour mettre officiellement fin à ma résolution 2011 qui consistait à écrire un article sur chaque film que je vois en un an. J'ai tenu le coup pendant la saison hivernale, j'avais beaucoup de temps à mettre sur ce projet, et énormément de motivation. Toutefois, voilà de ça quelques jours, j'ai enfin entamé une réflexion sur mon blog, et la conception changeante que j'en avais...
Pour ceux qui l'ignore, j'ai passé l'été au parc de la Vérendrye, où je travaillais "dans le bois" : sans internet haute-vitesse et connexion Wi-fi. Je n'avais pas souvent l'occasion de voir des films, et lorsque oui, je trouvais dommage de ne pas avoir l'occasion, la motivation, d'écrire un article sur mon blog. J'accumulais donc mes "devoirs"....
À mon retour rapide à Montréal, et le recommencement de l'école qui me rentre dedans, je ne pris pas le temps de faire la rédaction de tous ces articles "devoirs"...
Tranquillement, inconsciemment, j'ai commencé à me priver de regarder des films. Pourquoi ? Parce qu'à chaque fois, je me disais : Je vais devoir écrire un article là-dessus. Je ne regardais plus les films que dans la perspective d'écrire sur eux. C'est comme les gens qui commencent à aller au gym et qui changent leur alimentation. ( vous comprendrez ici que la bouffe est le cinéma) Ils ne pourront pas contrôler constamment leur alimentation, et ne pourront pas non plus être complètement assidu au gym ! Bon, à moins que ce soit tout ce que tu aies...
Ce que je suis en train de dire, c'est que ce blog recèle beaucoup de ce que j'ai vue, mais n'est même pas le reflet de mon appétit de cinéphile. Je ne veux pas le supprimer, je ne veux pas en faire un déchet web. Je veux qu'il reste, mais j'ignore encore si je l'exploiterai. Peut-être, éventuellement.
Mon appétit est trop gros, et je ne veux pas avoir à le restreindre dans la perspective de "devoir" à chaque fois écrire dessus.
Trop faim, j'ai trop faim...
Une histoire d'appétit
Je dévore et je déguste; Des chefs-d'oeuvre aux navets, Des lièvres aux mollusques, Savourant ce qui était tout comme ce qui est.
samedi, octobre 01, 2011
Reservoir Dogs
Cette été, vous l'avez vu, je n'ai pas visionné beaucoup de films... Je vous rassure, l'école à redébuter. Me voilà à Montréal de nouveau à virevolter entre l'UQÀM et ma nouvelle maison dans le magnifique guetto Centre-Sud. Avant d'arriver ici, j'ai quand même eut le temps pendant mon dernier bloc de travail de découvrir un beau bijou signé Tarantino datant de 1992. Oui, je parle du titre de cet article : Reservoir Dogs. On m'avait reproché de ne pas connaître ce film classique pour plusieurs. Et bien. TADA ! (pouf!)
Des gangsters, en veux-tu ? En v'là ! Tous sous un nom artificiel, ils sont amenés à collaborer ensemble pour un vol de banque important visant à voler des diamants de haute valeur. Toutefois, les choses tournent au vinaigre, en tuerie, et en mutinerie. Il y a forcément quelqu'un qui a trahie la troupe ? Qui est donc le menteur ayant infiltré la troupe de gangster ? Qui est le policier ?
Le montage puissant du film nous retient, nous fait virevolter au rythme des vérités qui éclatent. Non, je ne parle pas de scandales dramatiques, mais de morceaux de casse-tête. Ces morceaux ne recèlent pas toujours une information, mais aussi en sont-elles quand même. Inutiles voire même une unique tentative de détourner notre attention ? Ces scènes, ces dialogues et monologues sont d'une intelligence absurde et aident à bâtir les bases solides d'une réalité banale.
Il y a tant d'aspects intéressants à développer du film. Et, pour copier une réplique qu'on m'a déjà lancé : "'J'aime trop ce film pour l'analyser."
Je donne 10/10 à cette boisson énergisante.
jeudi, septembre 08, 2011
Midnight in Paris
Cinéma ! Cinéma ! Woody Allen dans mon coeur. Encore une fois, me voilà devant une de ses oeuvres. Définitivement et sans aucun doute, Midnight in Paris (2011) nous révèle un Woody éternel qui quitte encore une fois sa New York natale (voir Scoop, 2006 Ca). Je ne dirai pas que le film est sans lacune, et qu'il s'agit de son oeuvre la plus accomplie : ce serait un mensonge de ma part. Par contre, le fond du film m'a complètement charmé. Surtout du fait qu'il aborde un sujet très intéressant, et surtout pertinent.
Gil et Inez sont à Paris pour profiter de la ville le temps de quelques jours. Le couple s'apprête à ce marier. Gil est auteur, et tente de peaufiner son roman. Il adore Paris, ses rues antiques, son romantisme. De l'autre côté, sa compagne, Inez, est une femme issue d'une famille bourgeoise et ne se sent pas charmer par la ville de Paris, préférant Malibu...
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Gil et Inez |
L'introduction du film en dit long sur le charme de la ville de Paris. Charmante immersion dans l'univers antique du film, et de la beauté des vestiges bâtis au cours des plusieurs décennies d'humanité, cela nous parle d'une vision, celle de Gil sur ce qui l'entoure, ce qu'il y voit. On y décèle un rythme, une ambiance, une puissance envoutante.
La suite des choses transforment le film en un genre qui rappelle Scoop (2006. On mêle l'imaginaire à la réalité en lui donnant forme humaine. Rien d'extravagant ou de "too much". Les transitions dans le temps se font subtilement et graduellement de sorte qu'aucun choc ne nous fait décrocher de l'univers dans lequel nous faisons de nouveau immersion.
Ayant eu des cours d'histoire de l'art au Cégep, j'apprécie les références. Il y en a tout de même qui m'échappe... Certains auteurs ou artistes que je connais moins, mais que je découvre alors sans sentir de gêne quant au fait que je ne les connais que très peu.
Je ne peux écrire un article sur ce film sans parler du message central de celui-ci. On le décèle assez facilement, il est claire; pour ne pas dire explicite. C'est cette drôle d'habitude qu'ont les hommes (femme incluse) à préférer une époque autre que la notre. Sommes-nous incapable d'apprécier notre ère? Quand est-il si ce phénomène se manifeste dans chaque décennie de façon incontestable ? De toute façon, il est clair que chaque génération se voit incapable d'apprécier sa propre décennie, son contexte et ses conditions actuelles. Pourquoi ? Parce qu'on est jamais content ! Comment peut-on se convaincre que notre situation est la plus correcte de toutes celles possibles ? Tant de questions que soulève ce dernier Woody !
Je donne 8/10 à ce macaron.
mercredi, août 24, 2011
Brothers Bloom
Je suis en retard. J'ai vu ce film à mon dernier congé qui remonte à... trop longtemps ! Alors voilà,nouveaux colocataires, nouveaux films à partager! J'avais déjà la trame sonore sur mon Ipod. Il me fallait découvrir les images qui se mariaient avec cette excellente musique signée Nathan Johnson. Le film est une réalisation de Rian Johnson et date de 2009.
Stephen et Bloom sont deux frères qui, depuis l'enfance, ne cessent de collectionner les maisons d'accueil. Ces déplacements constants, cette vie irrégulière est en partie du à leur capacité à monter des arnaques, des guet-apens. Ils en font même un mode de vie. Toutefois, le plus jeune, Bloom, veut passer à autre chose, mais son frère Stephen arrive à le convaincre de poursuivre un dernier plan. Cela mène alors à la rencontre de Pénélope, riche héritière fortement étrange et fascinante.
Une belle histoire d'amour se déroule en parallèle. Le personnage de Pénélope est fascinant, attachant et spontané. Le genre de personnage qu'on souhaiterait rencontré dans sa vie. Ferait-on alors comme Bloom? Tombant en amour avec elle?
Malgré le fait qu'une histoire d'amour se développe, il ne s'agit clairement pas du centre du film. La relation sur laquelle on insiste est celle des deux frères. Tel un vieux couple, il semble que Stephen et Bloom soient incapable de se laisser partir, faire leur vie (une vie normale?).
Teinté d'un humour tout aussi agréable que l'aspect fantastique du film, l'univers qui nous est présenté engendre une intéressante réflexion sur l'engagement. Quand je parle d'engagement, j'entends par là autant auprès d'une amitié, d'une fidélité, de la confiance surtout. Pourquoi s'entourer de gens sur lesquels on est jamais sûre de pouvoir compter ? Et, inversement, pourquoi n'accorder à personne de la confiance, pourquoi ne pas offrir à nos proches la confiance, la vérité...
Magnifique !
Je donne 8/10 à cette canneberge enrobée de chocolat au lait.
jeudi, juillet 14, 2011
Harry Potter and the deathly hallows part 2
Ce congé-ci n'aura servi pratiquement que pour le déménagement. Grosse journée, grosse chaleur, bref; le tralala quotidien. J'ai quand même eu la chance de voir un film, un gros à part de ça ! Oui, oui, gratuitement en plus, avec mon frère Vincent. Le film est réalisé par David Yates et met en vedettes les mêmes acteurs depuis le début de cette série à succès.
Dans la deuxième partie, l'équipe de nos sorciers préférés tentent de détruire les Orcruxes pour enfin arriver à vaincre le dangereux Voldemort.
Je me suis lâché "lousse"pour la taille de l'image. J'ai beaucoup aimé le début du film. Il est réussi sur bien des aspects techniques et créatifs. Toutefois, pour une fois, je modifie mon approche : je parlerai plutôt de ce qui m'a déplu de ce film.
D'abord, avouons-le, Daniel Radcliffe n'est pas un bon acteur ! Il me semble que, par moment, pour quelques répliques, son jeu est bon, mais dans l'ensemble, c'est plutôt médiocre. Et je m'excuse parce que j'aime aussi beaucoup ce cher Daniel, mais je ne peux pas nier cette évidence... Par contre, il me semble que le personnage principal est entouré d'acteurs excellents qui contribuent souvent au jeu de Daniel qui, lui, est maigre dans sa solitude. Aura-t-il un avenir professionnel après Harry Potter ? Who knows...
Deuxième point, la passion. Où est la passion? Les émotions sont tantôt intenses, tantôt basses, une vrai montagne russe. Il ne faut pas se bâtir des attentes trop énormes, et éviter du coup les idées préconçues qu'alimentent les lecteurs du livre par exemple. Peut-être les non-lecteurs seront-ils satisfaits plus que moi des émotions. Mais je veux aussi souligner qu'il y en a... Peut-être davantage lorsque le film est dans son entièreté (partie 1 et partie 2 réunies).
Troisième et dernier point, la fin. LA FIN. Oui, le livre n'a pas donné beaucoup de choix. Mais alors, on s'attend au moins à une certaine crédibilité. Mais non, pas du tout. Le maquillage et les effets spéciaux ne peuvent pas faire de magie. On a tenté de vieillir des personnages qu'on a vu grandir : tâche ardue.
Pour conclure, il y a dans ce film, de grands défis et de grandes réalisations. Il s'agit définitivement d'un film qui marque notre génération et qui marquera les suivantes. Pas seulement les films, mais les livres aussi, qu'ils viennent de constituer en suite d'images et de répliques, donnant ainsi vie à cet univers si impressionnant et complexe.
Je donne 7/10 à ce pop corn avec beurre.
mercredi, juin 29, 2011
Scott Pilgrim vs. The World
Me voilà en congé de nouveau dans la Métropole. Il fait beau, et je déménage bientôt. Résultat : je passe mes journées à faire des boîtes et à vider des armoires, des tablettes, des tiroirs... Heureusement, mon ordinateur est encore vaillamment installé sur mon bureau, près à me jouer un film. Combien ce mois-ci ? 2 films ! Arggg. N'en parlons plus. J'ai eu un bonheur fou à écouter Scott Pilgrim vs. the World hier soir. Ce film de 2010 est réalisé par Edgar Wright qui est d'origine anglaise. On lui doit entre autre le délicieux film Shaun of the Dead (2004). Il est surprenant de voir un film aussi "gros" se tourner à Toronto et se dérouler effectivement au Canada. On ne raconte pas souvent de fiction avec une réalité nord-américaine. On doit ce phénomène au bédéiste Bryan Lee O'Malley, qui est un Canadien résidant à Toronto, en Ontario. Le film est largement influencé par le monde de la BD.
Scott Pilgrim tombe en amour avec Ramona Flowers. Cette fille tout droit sortie de ses rêves vient d'arriver de New York et s'installe à Toronto. Scott découvre rapidement que s'il veut rester avec Ramona, il devra affronter le passé de celle-ci en affrontant ses 7 evil Exes.
Le groupe de Scott, Sex Bob-Omb, est des plus agréable. La musique du band que l'on retrouve dans le film est issu du génie d'un artiste musical que j'aime particulièrement : Beck. On retrouve d'ailleurs, dans le film, une séquence où son album Odelay fait une brève apparition. Il y a d'ailleurs d'autres références à Beck, plus particulièrement à certaines chansons. Je ne ferai pas le décompte de tout le répertoire musical auquel le film peut faire allusion, mais je vous invite à visiter ce lien pour en apprendre davantage : http://www.imdb.com/title/tt0446029/trivia .
Il y a tant de choses dont je veux parler ! Ce film contient tellement d'éléments intéressants, et c'est là que réside sa force. Vous savez, ce genre de film que tu peux réécouter plus d'une fois sans jamais voir la même chose. Chaque visionnement est plus agréable, les répliques sont encore plus drôle, les subtilités sortent du cadre, enfin ! On peut dire que l'équipe a travaillé fort sur ce film où, même l'abondance d'éléments, n'en fait pas un vomi.
Le premier élément qui saute aux yeux de Scott Pilgrim vs. the World, c'est le rythme du film : dynamique, drôle, rapide et surprenant. Les transitions se font subtilement, rapidement et surtout de façon brillante. On passe alors d'un lieu à un autre en une fractions de secondes par le biais d'un son, d'un lieu, d'un mot... Le tout dans l'intelligence qui forge la subtilité de toutes ces transitions qui auraient pu étourdir. Mais non, ici l'action permet de nous garder en ligne, jamais on ne perd le fil.
Comment remarquer les références nombreuses faites au monde des jeux vidéos ? Et bien, IMDB offre une panoplie de ces références. Pour les Geeks avancés, ce sera un jeu d'enfant. Pour une personne comme moi, c'est surtout intéressant. Enfin un film qui parle au nerd se dit-on, parce qu'on l'a tous été d'une manière ou d'une autre, surtout avec l'époque du Super Nintendo ! (J'avais un frère à la maison à l'époque) Ce sont ces nombreuses références qui font aussi le genre du film. Il revisite ainsi les codes de langage, mixant le langage cinématographique avec celui du jeux vidéo. Accoutumé aux deux univers, la majorité des gens ne sont pas troublés. Heureusement, ces deux univers réunis donnent un résultat des plus intéressants. Le film a son propre langage, sans équivalent à mon avis jusqu'à maintenant et c'est cela qui fait son unicité. On ne veut pas d'un autre film Overated (phénomène de fanatisme inexplicable).
Avec Scott Pilgrim vs. the World, on est loin de la réflexion spirituelle, c'est évident. Par contre, on redécouvre le divertissement dans un intéressant métissage doublée de brillantes subtilités qui se faufilent sous nos yeux. Le film a écouté, réécouter et encore et encore, ne serait-ce que pour les dialogues et les répliques tranchantes des personnages plus que géniaux.
Je donne 10/10 à cet orange fraîche et juteuse !
mercredi, juin 08, 2011
The Kids are all right
Voilà, nous sommes déjà le 8 juin. Je suis en ce moment en vacances a Myrtle Beach, en Caroline du Sud. Mais même sur le bord de la plage, sous un soleil et une température moyenne de 28 degré C tous les jours, on trouve le temps d’écouter un film. Cette fois-ci, c’est The Kids are all right qui gagna l’unanimité parmi ma sœur Anne-Marie, ma cousine Julie et moi-même. Le film est une réalisation de Lisa Cholodenko datant de 2010. On y retrouve entre autre au casting le séduisant Mark Ruffalo (je l’adore depuis que j’ai visionné In The Cut de Jane Campion).
The Kids are all right raconte l’histoire d’une famille de parent homosexuel. Nic (Annette Benning) et Jules (Julianne Moore) sont mères de Joni et Laser, l’une a 21 ans, l’autre a peine 17. Pour donner naissance a ces enfants, elles ont eut recours a un don de sperme de la part d’un inconnu dont les seules choses qu’elles savaient de lui se trouvait dans son dossier. Les enfants, curieux de découvrir davantage sur l’homme, Paul, qui est tout de même leur père biologique, en viennent alors a rentrer en contact avec celui-ci. C’est la que les choses se compliquent, une histoire se développe en parallèle, les relations se compliquent. Est-ce possible que l’apparition de cet homme dans leur vie suffise a détruire ce qu’elles ont mis tant de tant a bâtir ?
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Nic (a gauche) et Jules (a droite) |
Le film est articulé de façon sobre, intelligente. On manie parfaitement les plans, les cadrages, le temps également. Rien d’extravagant, juste assez pour servir convenablement l’histoire qui, au fond, dicte le ton.
Ce qui est fascinant de ce film, c’est en partie le point de vue qui varie. On a 5 personnages principaux, c’est aussi 5 points de vue différents. On passe alors de l’un a l’autre, circulant entre leur propre préoccupation, désir, peur… Bien sûre, on en apprend pas autant que lorsqu’on se situe dans un seul point de vue. Pourtant, on a tout de même bien balancer les points de vue, de sorte que cela n’a pas désavantagé l’un ou l’autre. Et ça, c’est un art a mon avis !
Cette approche a pour effet de semer la confusion dans les têtes, déchirées par la même situation où on sait les personnages tous et toutes désolés devant les actes commis.
Le film parle surtout de la famille. Le discours est simple, et clair : peut importe le travail, les avoirs, et tout le tralala, ce qui importe vraiment, ce qui nous reste en bout de ligne et qui nous donne le courage de continuer le plus souvent, c’est la famille, c’est nos enfants.
On nous laisse malheureusement sur notre faim. Moi qui ait tant d’appétit ! La fin n’est pas une fin pour le couple, ni pour la famille, elle marque seulement la fin d’une étape, d’une réalisation. Malheureusement, force est de croire qu’ils ne sont pas au bout de leur peine… Et que ce passe-t-il avec le personnage de Mark ? Tristesse, je suis une vendue. Je l’adore !
Toutefois, le film est très drôle, sympathique, maladroit… mais aussi dramatique, juste assez. On n’a pas dramatisé (oui, juste un peu), mais les personnages sont sincères.
Je donne 7 sur 10 a ce petit chocolat au lait Kiss.
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