samedi, octobre 01, 2011

Reservoir Dogs

Cette été, vous l'avez vu, je n'ai pas visionné beaucoup de films... Je vous rassure, l'école à redébuter. Me voilà à Montréal de nouveau à virevolter entre l'UQÀM et ma nouvelle maison dans le magnifique guetto Centre-Sud. Avant d'arriver ici, j'ai quand même eut le temps pendant mon dernier bloc de travail de découvrir un beau bijou signé Tarantino datant de 1992. Oui, je parle du titre de cet article : Reservoir Dogs. On m'avait reproché de ne pas connaître ce film classique pour plusieurs. Et bien. TADA ! (pouf!)

Des gangsters, en veux-tu ? En v'là ! Tous sous un nom artificiel, ils sont amenés à collaborer ensemble pour un vol de banque important visant à voler des diamants de haute valeur. Toutefois, les choses tournent au vinaigre, en tuerie, et en mutinerie. Il y a forcément quelqu'un qui a trahie la troupe ? Qui est donc le menteur ayant infiltré la troupe de gangster ? Qui est le policier ?


Le montage puissant du film nous retient, nous fait virevolter au rythme des vérités qui éclatent. Non, je ne parle pas de scandales dramatiques, mais de morceaux de casse-tête. Ces morceaux ne recèlent pas toujours une information, mais aussi en sont-elles quand même. Inutiles voire même une unique tentative de détourner notre attention ? Ces scènes, ces dialogues et monologues sont d'une intelligence absurde et aident à bâtir les bases solides d'une réalité banale. 

Il y a tant d'aspects intéressants à développer du film. Et, pour copier une réplique qu'on m'a déjà lancé : "'J'aime trop ce film pour l'analyser."

Je donne 10/10 à cette boisson énergisante.

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